jeudi 15 janvier 2015

asymetrie structurale du systeme nerveux de vertébré

un bref regard dans son miroir et un coup d'oeil rapide sur d'autre vertébrés suggérent que la symétrie bilatérale du corps est un caractére courant chez les animaux. Mais une obsrevation plus précise révèle des expressions importantes. Parmi les poissons plats comme la sole , le flet et le flétan, des poissons comestibles bien connus, on trouve des exemples frappants d'asymetrie corporelle comprenant aussi le cerveau.Chez les poissons plats adultes les deux yeux se trouve du meme coté de la tete. Cette etrangeté de structure apparait au cours du developpement. Quand un tel poisson sort de l'oeuf, il posséde une forme symetrique de poisson ordinaire, mais à mesur qu'il se développe, un oeil migre par-dessus le sommet de la tete. Certains poissons plats ont leurs deux yeux situés du coté droit de la tete, et d'autres les ont du coté gauche.


La plupart des poissons plats passent une grande partie de leur temps couchés sur le fond marins, recouverts souvent d'une fine couche de sable. Quandune proie s'approche, ils s'elancent pour la capturer. L'ensemble des poissons plats fait partie de l'ordre des pleuronectiformes qui sont tous asymetrique à l'etat adulte. Toutefois, les regions visuelles à l'interieur du cerveau sont symétriques, bien que les deux yeux soient localisés d'un meme coté de la tete. Cependant, chez certains poissons plats, le systéme olfactif présente une asymétrie anatomique cérébrale assez frappante. La narine droite est placée au-dessus de la gauche ; le recepteur olfactif et les voies du coté droit, y compris les régions olfactives du cerveau sont nettement plus grands que leurs correspondants situés du coté gauche.
 L'asymétrie structurale se retrouve encore dans le cerveau d'autres vertébrés, meme si elle n'est pas aussi prononcée que chez les poissons plats. Les primates non humains présentent des asymetries anatomiques dans la région du lobe temporal, analogues à celles trouvées chez les etres humains. Des études fonctionnelles chez des vertébrés non humain ont montré de nombreux exemples de latéralisation ( un coté plus important que l'autre ) comme les effets des lésions corticales les mettent en évidence .

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